L'âme sensible
Se proposant d'écrire sur Stendhal, Jean Dutourd s'est laissé entraîner à parler aussi de Napoléon, de la vie et de la mort, de l'art, de la guerre et de l'amour, de lui-même aussi :
" Je n'imaginais guère, en commençant mon
chapitre Stendhal, qu'il deviendrait L'âme sensible, et que je mettrais dans ce livre toute mon expérience d'homme et d'écrivain. "
Source : Folio