La Tenda rouge de Bologne
Du rouge aux fenêtres de la Piazza Maggiore, et partout, au détour des rues, le souvenir d'un oncle dont la grande passion fut d'écrire des lettres, en recevoir, et lire, et voyager. En une centaine de séquences ciselées, fragmentaires, délicatement rehaussées par les dessins de Paul Davis, ce récit-promenade déroule le fil d'une subtile méditation sur la mémoire et le temps. Une flânerie lyrique à travers les mondes d'une cité sans âges, comme cet oncle Edgar tant aimé que Bologne la Rouge fascinait, et que John berger fait revivre en un " cri murmuré ".