Pension alimentaire
« Comment est-ce que tu peux divorcer ? dit mon père au moment de l'addition. Nous avions déjeuné dans cette brasserie à l'angle de la rue du Bac et de la rue de Varenne où ils servaient un tartare au paprika assez unique. »
« Un exercice de style réussi sur le divorce. » L'Expansion.
« Art désinvolte de croquer les horreurs de la vie, dérision élégante.... une façon bien à lui de saisir son époque, les tics du milieu parisien. » Gérard Pussey, Elle.
« Neuhoff traite avec drôlerie des glissements de terrain, des chutes d'arbres dans la géographie sentimentale et sociale d'aujourd'hui. » Bernard Pivot, de l'académie Goncourt, JDD.
« Neuhoff sait raconter dix ans de vie en deux lignes... Du Claude Sautet bousculé par le Cassavetes de Husbands. Très drôle et très triste, très violent et très tendre. Comme nos vies... Une comédie de moeurs de grande classe. » Christian Authier, Le Figaro.
« Un superbe roman. Un peu à la façon d'une longue nouvelle de Fitzgerald. » Gilles Martin-Chauffier, Paris-Match.
« Une chronique des jours malheureux, où chaque phrase est un enchantement. Quel écrivain ! » Patrick Besson, Marianne.
« D'une redoutable férocité, d'une beauté crue... Un grand livre sur les bons sentiments qui conduisent aux mauvais. » Anthony Palou, Le Figaro Magazine.
« Panache, ironie, une douloureuse pudeur qui file la chair de poule... Le récit d'un homme à l'élégance rare. Un bouquin sublime. » Nicolas Rey, VSD.
« La plupart des pouffements de Neuhoff sont des sanglots réprimés. Au lecteur de les débusquer derrière ses sarcasmes et son petit rire sec à la Léautaud. » Jacques Nerson, Le Nouvel Observateur.
« Une lucidité qui fait mal, un livre qui observe les blessures du divorce avec le regard de l'homme qui n'en demeure pas moins un père. » Valérie Gans McGarry, Madame Figaro.
« Alerte, cruelle, lucide et drôle... la chronique douce-amère d'un amour sur le déclin puis d'une séparation inéluctable... Une bonne dose d'autodérision et un sens de la formule irrésistible. » Delphine Peras, Lire.
« Il faut se méfier de Neuhoff, comme il faut se méfier de Blondin ou de Giraudoux. Ce sont des écrivains mezza voce, de la litote, du dépouillement... Il fait de la pudeur un style. Au lieu de dramatiser, il gomme. Au lieu de s'appesantir, il glisse... Art de l'ellipse, du dépouillement, de la rapidité : la classe, quoi ! » Jacques-Pierre Amette, Le Point.
« Ce roman est ce que les Anglais appellent une comédie de manières. Quand on dit comédie, c'est par politesse. Une tristesse passe sur ce livre vif et rapide. À lire d'office. » Charles Dantzig, Bibliobs.fr
« Tout en finesse, Neuhoff navigue dans un univers qu'un Truffaut n'aurait pas renié. A écrire ironiquement des sentiments dévastés, il pourrait devenir un produit de luxe français : l'élégance fait livre. » Benoît Delmas, Témoignage chrétien.
« Le titre -Pension alimentaire- est à lui seul un programme, qu'Éric Neuhoff exécute avec sa maîtrise habituelle. Dans un style sobre et incisif. » Marie-Claire.
« Un cinglant roman de désamour, des pages d'une sobriété poignante. Comme si Neuhoff n'avait feint de s'emporter que pour mieux cacher ses larmes. » Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.