Testament de Jean Meslier
1762, Voltaire fait publier des extraits de cette œuvre, en réécrit et édulcore certains passages jusqu'à les rendre méconnaissables. L'athéisme radical du curé s'y trouve travesti en un déisme prudent. D'Holbach publia, quant à lui, Le bon sens du Curé Jean Meslier suivi de son testament.