Archibald Skye T1 - Y a-t-il pénurie de chamallows à San Francisco ?
Archibald Skye - T1
Y a-t-il pénurie de chamallows à San Francisco ?
367 pages
Ici Jupi, voilà c'est officiel, j'ai pété un plomb. Les différentes personnes qui peuplent mon cerveau ont décidé de prendre les commandes pour écrire ce roman. Je vous le dis : si vous ouvrez ce livre, vous vous exposez à de la tarée-attitude. Une grosse dose de tarée-attitude. Ne venez pas dire que je ne vous ai pas prévenus, d'accord ? Allez, je vous explique le topo :
Archie, de son vrai prénom Archibald, parce que ses parents avaient décidé d'être idiots le jour de sa naissance et de lui filer un prénom de garçon, est garde du corps. La plupart du temps, elle s'occupe du zoo du coin, donc elle est plutôt agent de sécurité, ce qui est déjà une sacrée chance car devinez quoi ? Elle n'a pas de pouvoirs. Rien. Nada. Le vide interdimensionnel. Tout ça dans un monde où les pouvoirs, ça pullule dans tous les sens. TOUT LE MONDE a un pouvoir, vous voyez le tableau ? Tout le monde, sauf elle.
Mais voilà qu'elle se retrouve à assurer la sécurité de Shawn Claw, LE chanteur ultra populaire du moment, celui que tout le monde veut épouser, surtout Esteban, le meilleur ami d'Archie, qui fantasme totalement sur la star.
Évidemment, ça ne se passe pas bien.
Évidemment, elle s'en tire in extremis.
Évidemment, elle ne compte pas en rester là.
Archie prévoit une apocalypse dans 5,4,3, ...
"Ces deux-là n’allaient pas ensemble. Ils n’étaient même pas le feu et la glace. Non, le feu et la glace c’était sexy, ça donnait envie. Ils étaient plutôt le blaireau et la panthère. Sauf que Shawn était une panthère et que Rachel était un blaireau. Enfin une blairelle. Mais comme personne ne connaissait le féminin de blaireau, à part Numéro 3 qui venait de faire une sévère névrose dessus, j’allais considérer que blaireau était correct. Et ils n’allaient pas faire des blaireautins ensemble, c’était certain. Déjà parce que faire des blaireautins à vingt et un ans dans un monde où on vivait potentiellement jusqu’à cent quatre-vingts ans, c’était se pourrir la vie pour l’éternité, mais aussi parce que si j’avais mon mot à dire, j’empêcherais ça.