Terreur T1 - Terreur
Paris, 1793. Marie Crossholz dirige le musée de cire créé par son père. Contre rétribution, des bourreaux lui permettent de mouler les visages des aristocrates que la Terreur leur a ordonné de guillotiner… Nombreux sont les Parisiens qu’attirent ces «têtes» de décapités. Ce qui les attire aussi, c’est une copie des joyaux de la Couronne de France mystérieusement disparus. Une nuit, ayant entendu des pas, Marie inspecte son musée et constate que la «tête» du comte de Vitray a changé de place. Soudain, elle est agressée par un homme masqué ! Le lendemain, elle reçoit la visite du commissaire Jabot qui, sans lui fournir d’explications, fouille son atelier. Quelques jours après, elle découvre dans un livre le portrait du comte de Vitray et s’aperçoit que le masque du guillotiné qu’elle a modelé, ne lui ressemble pas ! Son visiteur nocturne serait-il venu détruire la preuve d’une imposture ? Celui-ci n’est pas le seul à hanter le musée : s’y cache également un pamphlétaire recherché. Afin de le soustraire ses investigations, Marie tente d’assassiner Jabot. Capturée par des inconnus, elle devra néanmoins la vie à l’intervention de ce dernier venu les arrêter. Mais, Jabot n’est pas de ceux qui pardonnent. Emprisonnée, Marie se fait une amie d’une co-détenue, une certaine Joséphine de Beauharnais dont l’amant, le jeune général Bonaparte, fait beaucoup parler de lui. Celle-ci lui fait de très surprenantes révélations…