Oisivetés
Si seulement tu m'appelais"; "Si je vais en Hongrie"; "Si Cioran eût philosophé"; "Et si c'était le geste de Dieu"; "Si big bang il y a eu)... Ce sont là cinq des quatre-vingt un chapitres, où la pensée de l'auteur touche à l'histoire, à la poésie, au théâtre, à la philosophie, à la politique, tout en étant parfois très personnelle, qu'elle avoue son repentir (" Si je fais mon mea culpa ") ou son amour.