Ballade de mes heures africaines
C’est un document, une célébration, une déclaration d’amour à l’Afrique : de l’ethno-poésie à l’état pur. C’est la relation en mots et en images de rayonnante fraîcheur du second voyage africain de Théodore Monod (en 1925, à 23 ans) articulée en cinq dits : — Le Dit de mes Véhicules — Le Dit de mes Soifs étanchées — Le Dit des Habitations — Le Dit des Nourritures d’Afrique et — Le Dit des « Latest African Fashions ».
L’on ne présente plus Théodore Monod, le marcheur du désert, le savant aux multiples disciplines, l’humaniste aux engagements fervents. Mais ses talents de dessinateur et de coloriste étaient encore bien peu connus. Or la couleur a peut-être été le goût le plus précoce et le plus constant, dès ses premières années, de l’enfant Théodore.
Voici sa Ballade de mes heures africaines en fac-similé du manuscrit, avec cinquante-neuf aquarelles minutieuses de la main de l’auteur. Un livre d’heures, en vérité, qui ne réjouira pas moins l’enfant que l’adulte, ou le doyen.