La violette du Prater
Londres, années 1930. On tourne un film. Le réalisateur, Friedrich Bergmann, est un juif autrichien qui a fui Vienne menacée par le nazisme. Isherwood, écrivain au succès modéré, est chargé d’écrire le scénario. L’énorme pittoresque du cinéaste, la réalisation toujours au bord de la catastrophe, la conscience des horreurs qui se préparent : un grand roman du cinéma par l’auteur d’un des chefs-d’œuvre du xxe siècle, Adieu à Berlin.