Si vaste d'être seul
Tristan Cabral a toujours mis son coeur en concordance avec celui des « suicidés de la société », des réfractaires, des élus qui érigent leur solitude en « barricade mystérieuse ».
Il se veut, une fois de plus, le témoin vigilant de la déshumanité ambiante. Face aux modernes barbares, il oppose ses mots mis à nu.
Ces nouveaux poèmes, au lyrisme toujours aussi flamboyant, à la lisibilité immédiate, frappent par leur présence douloureuse au monde.