Maman, pourquoi m'as
Je suis en admiration. Je n'avais pas connu cela, à ce degré, depuis le Voyage au bout de la nuit. Comme Céline, Polac est un aristocrate de pensée. C'est dire qu'il est brutal et vrai. Permettez-moi un conseil de vieux lecteur : si vous n'aimez ni Rimbaud, ni Lautréamont, ni Stendhal, ni aucun de ces écorchés de génie, croyez-moi : ne lisez pas le roman de Michel Polac, laissez-le à ceux qui savent lire. Merci. " Louis Calaferte, 1969.