Lucid casual
Lucid Casual vit sa maman pleurer, pour la première fois, ce matin de septembre au cours duquel elles s'habillèrent toutes deux de frais et de blancs, pour se diriger vers un endroit qui n'était ni le magasin de peluches, ni les cousines, ni la mer, ni la montagne, ni la foire, ni la campagne, ni le jardin, ni rien mais une sombre bâtisse austère, entourée de grillages, agrémentée aux alentours de panneaux triangulaires montrant deux petits enfants en ombre chinoise, gambadant gaiement, bras dessus, bras dessous.