Le chat qui lisait à l'envers
Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de critique d'art est une véritable gageure étant donné qu'il ne connaît rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-ci est un véritable musée, sa table celle d'un fin gourmet et l'homme lui-même est brillant et satirique. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire à l'envers les manchettes des journaux. Dans le monde apparemment paisible des beaux-arts, trois morts brutales se produisent et c'est grâce au flair de Koko que Qwilleran découvrira la vérité.
Le chat qui mangeait de la laine
Nous retrouvons ici notre vieille connaissance Jim Qwilleran, chroniqueur au Daily Fluxion et son ineffable compagnon, le chat siamois Kao K'o Kung, dit Koko. Qwilleran se voit assigner le poste de rédacteur en chef d'un nouveau magazine de décoration, Le Gai Logis. Le premier numéro est un succès.
Malheureusement la maison qu'il avait choisie pour illustrer le journal est cambriolée. Une inestimable collection de jades disparaît et l'épouse du propriétaire meurt d'une crise cardiaque. Avec le second numéro, Qwilleran apprend à ses dépens la double signification du mot "professionnelle" et il commence à se demander si quelqu'un n'essaie pas de couler le magazine. Cependant, lorsque le décorateur David Lyne est assassiné, il décide de prendre l'affaire en main. Que signifie aussi la curieuse lubie de Koko de manger de la laine ? C'est pourtant grâce à cette manie que Qwilleran découvrira le fin mot de l'histoire et démasquera les coupables.