La prédominance du crétin
L'éducation, le divertissement, les médias, les intellectuels, la civilisation marxiste, les femmes et la littérature sont successivement abordés avec un mordant que n'auraient pas désavoué Louis de Bonald ni Joseph de Maistre... Contrepartie de critiques dévastatrices , la dernière partie du livre contient des études sur quelques-uns des grands écrivains de ce siècle, Beckett, Borges, Cioran, Orwell, Valéry. Pour chacun d'eux, ces polémistes irrépressibles manifestent une tendresse classique, brûlante et pudique ensemble.
(Eric Deschodt, Valeurs actuelles)