De mémoire
Rusk était assis, avec l'air d'un homme qui viendrait de voir le monde s'écrouler sur sa tête.
Une dépêche jaune à la main, sans un mot, il attendait que deux autres hommes arrivent avant de prendre la parole. Je compris qu'il s'agissait d'une affaire grave et lus par-dessus son épaule. Quiconque avait envoyé le message l'avait fait en toute hâte. Il y avait des fautes d'orthographe. (...) Je déchiffrai : " ... au moins trois coups de feu tirés sur le cortège du président Kennedy aujourd'hui dans le centre de Dallas...
Kennedy grièvement blessé. Mettez peut-être peut-être grièvement blessé... Kennedy blessé peut-être mortellement par des balles assassins.