Au feu du désir même
Les poèmes de ce livre, attribués à un certain Guillaume de La Mercie, apparaissent comme des variations libertines, aussitôt revendiquées par quatre poètes en quête de sensations inédites, et qui sont plus que des prête-noms. Rien là qui s’apparente à un artifice littéraire, le pari étant de restituer intensément les jeux divers, charnels et hasardeux de l’amour.