Le gentil Evariste Floconnet a toujours été très casanier. Tellement casanier qu’il n’a quasiment jamais quitté sa demeure tant et si bien qu’il n’a jamais commis ni bien ni mal. Et cela n’arrange pas les juges de l’au-delà qui ne surent donc pas à sa mort s’il fallait l’envoyer au paradis ou en enfer. Voilà donc notre pauvre Evariste Floconnet condamné à hanter sa demeure jusqu’à ce qu’il accomplisse bonne ou mauvaise action. Hélas, sa demeure ayant entre-temps totalement brûlé, il ne lui reste plus à hanter que le tableau la représentant. Heureusement, quand c’est Isabelle qui devient propriétaire de ce tableau, il va pouvoir compter sur son aide pour accomplir les bonnes actions qu’il n’a su accomplir.