Le Papillon de la mort
Pour Maurice Renard, tout est toujours possible. Il met en scène des héros comme nous en connaissons tous, dans des décors ordinaires. Ils n'ont pour eux que leur raixadson. C'est une bien faible arme dans un univers d'épouvante et de ténèbres... Maurice Renard, qui ne construisait ses contes »d'épouvante et de luxure« (selon son expresxadsion) que pour son propre plaisir... et celui de ses lecteurs, n'est pourtant pas l'amuxadseur que l'on croit trop souvent. Il conviendrait, enfin, de le réhabiliter et de le remettre au niveau des plus grands. Deux de ces »plus grands« d'ailleurs en avaient parfaitexadment conscience qui ne manquaient pas de lui rendre visite quand ils passaient à Paris : ils avaient nom Hans Heinz Ewers et Jean Ray.