La leçon de violon

Ernst Theodor Amadeus Hoffmann

La leçon de violon
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C’est l’histoire d’un garçon de seize ans, qui donnait toute son âme à l’apprentissage du violon. Il prenait des cours depuis longtemps, son maître s’appelait : «Haak». Pendant ces cours Haak, prononçait toujours le nom : «le baron » ; c’était l'élève du plus grand violoniste du monde : «Tartini», considéré comme le créateur du violon. Le baron était donc le seul à pouvoir transmettre "le vrai violon" car Nardini (second élève de Tartini) ne jouait plus, ce qui le rendait un peu égocentrique. Le baron donnait souvent des concerts chez lui où allait Haak. Un jour l’élève demanda à Haak de l’emmener à un concert du

baron. Le soir venu il se rendit compte que Haak prenait lui aussi des cours avec le baron ce qui l’étonna beaucoup. Ce soir là, l’élève demanda au baron s’il pouvait prendre des cours avec lui, celui-ci lui demanda alors de jouer devant lui pour savoir s’il avait un véritable cœur d'artiste. L’élève s’exécuta et Le baron lui qu'il pouvait continuer à jouer du violon car il l’avait dans l'âme et donc accepta de lui donner des cours. Ce qui amusa beaucoup l’élève était que le baron est le seul qui connaissait les vraies règles du violon et pourtant il baladait l’archet sur le violon d’une manière extravagante en prétendant qu’il jouait le plus admirable solo de Tartini. Maintenant qu’il prenait des cours avec le baron, il faisait des concerts en contre partie d’une paye misérable.

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Le chef d’œuvre inconnu / La leçon de violon

Ernst Theodor Amadeus Hoffmann et Honoré De Balzac

A Paris, au début du XVIIè siècle, trois peintres devisent de leur art. L'un est un jeune inconnu, promis à la gloire : Nicolas Poussin. Le deuxième, Franz Porbus, portraitiste officiel de feu le roi Henri IV, est, lui, dans la plénitude de son talent et au faîte de la renommée. Le troisième, maître Frenhofer, personnage plein de mystère qui a côtoyé les plus grands maîtres et assimilé leurs leçons, met la dernière main dans le plus grand secret à un bien mystérieux « chef-d'oeuvre ». Il faudra que Gillette, la compagne de Poussin, en qui Frenhofer espère trouver le modèle idéal cherché en vain depuis des années, soit admise dans l'atelier du peintre pour que, y pénétrant derrière elle, Porbus et Poussin découvrent le tableau dont Frenhofer gardait jalousement le secret. Et cette découverte les plongera dans la stupéfaction.

Ce «conte fantastique» à la manière d'Hoffmann est aussi une méditation sur le pouvoir de l'esprit dans le domaine de l'art. Il prend naturellement sa place parmi les Études philosophiques de La Comédie humaine.

Source : Le Livre de Poche

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