L'effacement du monde
On découvre ici un romancier profond au style maîtrisé.
Car les questions que pose Eric Pessan (qu'est-ce que la langue ? Peut-on survivre à son absence ? Les mots précèdent-ils la pensée ?) n'ont rien d'anecdotique ni de fondamentalement romanesque. Et il fallait bien du talent pour inventer une fiction grave et légère sur le fil des mots absents." Michèle Gazier, Télérama.
"C'est une jolie fable simple, bien faite pour exprimer l'espèce de malédiction qui pèse sur toute parole individuelle dans le monstrueux tohu-bohu contemporain. "Agnès Vaquin, La Quinzaine littéraire.
"Une brillante et vertigineuse méditation sur la langage, et le rapport qu'il nous permet ou nous force à entretenir avec le monde." Marianne Dubertret, La Vie.