Je voudrais pas crever
Je voudrais pas crever, poème d’un homme jeune qui se sait bientôt condamné, donne son titre à un recueil de vingt-trois poèmes publiés après la mort de Boris Vian (1920-1959), et dont l’édition de 1962 a marqué, avec quelques romans et nouvelles, le début de sa gloire posthume. N’était-ce point d’ailleurs une sorte de «chanson du néant»?
Lorsque Noël Arnaud offrit à son tour l’édition de 1972, il y joignit quelques lettres de Vian au Collège de ’Pataphysique, l’institution pour laquelle celui-ci s’enthousiasma, passion qui venait après tant d’autres et qui avaient brûlé sa vie, telles que l’amour et l’amitié, le jazz, l’écriture, la liberté…
Pourquoi je vais aimer ce livre ?
Cher futur lecteur,
Si vous êtes à la recherche d'un livre qui vous transportera dans un monde absurde, rempli d'ironie et de satire, alors vous allez adorer "Je voudrais pas crever" de Boris Vian. Ce livre est un joyau de littérature française qui, à travers son style d'écriture captivant et sa narration surréaliste, vous invite à explorer les réalités dérangeantes de la société.
L'histoire suit le personnage principal, Colin, qui se réveille un jour dans un monde étrange et mystérieux. Il est confronté à des situations absurdes, des personnages loufoques et des problèmes absurdes qui remettent en question les conventions sociales et les normes morales. Colin se bat pour survivre dans ce monde absurde, mais son voyage est parsemé d'imprévus et de surprises qui vous tiendront en haleine jusqu'à la fin.
Boris Vian utilise son talent d'écriture pour critiquer la société de son époque, mettant en lumière les inégalités, les absurdités et les injustices qui existent. Sa plume incisive et pleine d'esprit vous fera rire, réfléchir et réagir. Vous serez captivé par les personnages colorés et les situations délirantes, et vous apprécierez la façon dont l'auteur aborde les thèmes profonds avec une touche d'humour.
Enfin, "Je voudrais pas crever" est un livre à ne pas manquer pour ceux qui aiment la littérature française et qui cherchent à explorer les thèmes profonds de manière décalée et amusante. La plume de Boris Vian est unique et captivante, et ce livre est un must-read pour les amateurs de littérature absurde et absurde. Alors, préparez-vous à vivre une expérience littéraire inoubliable, et laissez-vous emporter par le monde absurde de Colin.
Cordialement,
Un admirateur
Comment ce livre va me faire réfléchir ?
Dans les pages vibrantes de "Je voudrais pas crever" de Boris Vian, vous découvrirez un voyage tumultueux à travers les problématiques brûlantes de notre société et les mystères profonds qui se cachent au sein des relations humaines. Dans un style envoûtant, Vian soulève des questions essentielles et révèle les secrets les plus intimes du monde qui nous entoure, éclairant ainsi l'âme de l'homme moderne.
Quelle est la véritable essence de l'amour et de la passion, ces forces puissantes qui dévorent nos cœurs et transcendent les conventions sociales ? Vian explore avec audace les liens passionnels, révélant leur nature complexe et les délices autant que les tourments qu'ils engendrent.
Quels sont les secrets cachés derrière les masques de la société, cette façade que nous arborons tous les jours ? L'auteur, par son regard perspicace, révèle les hypocrisies et les jeux de pouvoir qui gouvernent nos interactions sociales, nous invitant à questionner la véritable authenticité de nos existences.
Qu'est-ce qui donne un sens à nos vies, au-delà des routines et des obligations qui nous accablent ? Vian aborde la quête de sens et d'accomplissement, explorant les désirs les plus profonds de l'âme humaine et la recherche d'un bonheur authentique.
Quels sont les secrets de la mort et comment elle façonne notre vision de la vie ? L'auteur nous pousse à regarder la mort en face, à la démystifier et à l'embrasser comme faisant partie intégrante de notre existence, afin de mieux comprendre la valeur de chaque instant précieux.
Comment l'art et la créativité peuvent-ils nous libérer des chaînes de la conformité et nous aider à exprimer notre individualité ? Vian célèbre l'art sous toutes ses formes, nous incitant à trouver notre voix unique dans un monde souvent étouffant, en nous rappelant que la créativité est une source infinie d'inspiration et de rébellion.
À travers ces questions fondamentales, Vian nous guide vers une introspection profonde et nous permet de saisir les subtilités de notre existence. En nous invitant à regarder au-delà des apparences et des normes établies, il nous offre des clés pour comprendre notre société actuelle et l'homme d'aujourd'hui. "Je voudrais pas crever" nous révèle des vérités universelles et nous inspire à vivre pleinement, avec passion et authenticité.
Livres de l'auteur : Boris Vian
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Entretiens avec le professeur Y Littérature française (1996) 128 pages |
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La chute Littérature française (1972) 152 pages |
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Les séquestrés d'Altona Pièces de théâtre (1960) 378 pages |
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La Violence et le sacré Critiques, essais et analyses de littérature (1998) 486 pages |
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La nausée Littérature française (1972) 249 pages |
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Le mur Littérature française (1972) 244 pages |
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L'homme révolté Littérature anglaise (1985) 382 pages |
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Le Diable et le bon Dieu. Trois actes et onze tableaux (1991) |
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L'être et le néant Lettres modernes pour l'université (1976) 675 pages |
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Les chemins de la liberté - T1 L'âge de raison - Les chemins de la liberté Littérature française (1945) 369 pages |
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Les testaments trahis Romans historiques (1993) 334 pages |
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La P... respectueuse Livres scolaires et parascolaires pour le collège (2000) 220 pages |
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La Distinction : Critique sociale du jugement Sociologie (1979) 672 pages |
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Murphy (1947) 201 pages |
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L'existentialisme est un humanisme Lettres modernes pour l'université (1996) 108 pages |
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Crépuscule des idoles ou Comment philosopher à coups de marteau Critiques, essais et analyses de littérature (1988) 151 pages |
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L'Avalée des avalés Littérature française (1966) 384 pages |
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Exile trilogy - T1 D'un château l'autre Littérature française (1957) 439 pages |
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Pensées Philosophie et épistémologie pour l'université (1995) 912 pages |
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Les portes de la perception Grands courants de SF, Fantasy et Terreur (2001) 320 pages |
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Les jeux sont faits Littérature française (1990) 164 pages |
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Wilderness Poésie (1992) 305 pages |
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La Putain respectueuse. Pièce en un acte et de deux tableaux. |
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Loin de Rueil Littérature française (1977) 211 pages |
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Les mains sales Pièces de théâtre (1972) 245 pages |
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La Naissance de la tragédie Philosophie et épistémologie pour l'université (1989) 374 pages |
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Les funérailles de la Grande Mémé (1988) 319 pages |
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La Modification Littérature française (1980) 313 pages |
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Les choses Littérature française du XXe siècle (2006) 160 pages |
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Si le grain ne meurt Littérature anglaise (1966) 371 pages |
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Apostille au Nom de la rose Critiques, essais et analyses de littérature (1987) 90 pages |
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L'Aiglon Livres scolaires et parascolaires pour le collège (1986) 434 pages |
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Baudelaire Poésie (1988) 178 pages |
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Mort à crédit Mort à crédit Littérature française (1976) 622 pages |
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Voyage au bout de la nuit - Prix Renaudot 1932 Romans historiques (1972) 505 pages |
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La plaisanterie Autres littératures étrangères (1975) 480 pages |
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Risibles amours Autres littératures étrangères (2020) 320 pages |
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Les mots Littérature anglaise (1972) 210 pages |
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Women (2011) 434 pages |
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La société de consommation (1970) 318 pages |
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Ainsi parlait Zarathoustra Philosophie et épistémologie pour l'université (2006) 477 pages |
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Le Pendule de Foucault Littérature italienne (1992) 656 pages |
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Jacques Vingtras - T1 L'Enfant Littérature française (1972) 348 pages |
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Généalogie de la morale Philosophie et épistémologie pour l'université (1997) 278 pages |
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La misère du monde Ouvrages de référence de sociologie (2007) 1472 pages |
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L'exil et le royaume Littérature française (1972) 185 pages |
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Nouveaux contes de la folie ordinaire Littérature américaine (1985) 315 pages |
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Psychologie des foules (Quadrige) Composition améliorée (2013) 132 pages |
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Tropique du Cancer Littérature anglaise (1972) 448 pages |
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Critique de la raison pure Philosophie et épistémologie pour l'université (2006) 766 pages |