Révéler mes prochains livres
En utilisant mon assistant virtuel il saura me révéler un livre suivant mon humeur du moment :
Pour avoir des révélations de livres :
Pour utiliser le révélateur de livres étendu :
Je m'inscris gratuitement pour obtenir des révélations personnalisées (Inscription) |
Livre du jour
Le Siècle - T1
La Chute des géants
Romans historiques (2010)
1008 pages
Ken Follett nous plonge dans l'une des périodes les plus captivantes et les plus violentes de l'Histoire... La grande aventure du XXe siècle, telle que personne ne l'a jamais racontée.En 1911, les grandes puissances vivent leurs derniers instants d'insouciance. Bientôt la guerre va déferler sur le monde... De l'Europe aux États-Unis, du fond des mines du pays de Galles aux antichambres du pouvoir soviétique, en passant par les tranchées de la Somme, cinq familles vont se croiser, s'unir, se déchirer, au rythme des bouleversements de l'Histoire.
Passions contrariées, rivalités et intrigues, jeux politiques et trahisons... Cette fresque magistrale explore toute la gamme des sentiments humains à travers le destin de personnages eÎptionnels, visionnaires et ambitieux... Billy et Ethel Williams, Lady Maud Fitzherbert, Walter von Ulrich, Gus Dewar, Grigori et Lev Pechkov vont braver les obstacles et les peurs pour s'aimer, pour survivre, pour tenter de changer le cours du monde.
Entre saga historique et roman d'espionnage, drames amoureux et lutte des classes, ce premier volet du Siècle raconte une vertigineuse épopée où l'aventure et le suspense rencontrent le souffle de l'Histoire...
Livre surprise
On raconte que c'est grâce aux éditions clandestines du samizdat - et donc, sans nom d'auteur - que fut introduite en Union soviétique la traduction du Procès. Les lecteurs pensèrent, dit-on, qu'il s'agissait de l'œuvre de quelque dissident, car ils découvraient, dès le premier chapitre, une scène familière : l'arrestation au petit matin, sans que l'inculpé se sût coupable d'aucun crime, les policiers sanglés dans leur uniforme, l'acceptation immédiate d'un destin apparemment absurde, etc. Kafka ne pouvait espérer une plus belle consécration posthume. Et pourtant, les lecteurs russes se trompaient. Le projet de Kafka n'était pas de dénoncer un pouvoir tyrannique ni de condamner une justice mal faite. Le procès intenté à Joseph K., qui ne connaîtra pas ses juges, ne relève d'aucun code et ne pouvait s'achever ni sur un acquittement ni sur une damnation, puisque Joseph K. n'était coupable que d'exister. Crime capital et à la fin du livre, deux " messieurs " l'emmèneront dans une carrière abandonnée et le tueront " comme un chien ".