Sarah Bernhardt, le garçon manqué
En mars 1900, alors qu'elle attend d'entrer en scène, costumée en homme, pour la première de L'Aiglon, Sarah Bernhardt se souvient d'événements de son enfance, un rôle d'ange et la rencontre d'un militaire, qui ont suscité sa vocation de tragédienne et son envie de rôles masculins. Son destin de garçon manqué.
Décrite par la sensibilité de Michel Quint, voici l'enfance passionnante de celle qu'on surnommait « La Divine ».