Rendez
je crus voir ma porte s'ouvrir lentement et le vieux Gorcha paraître sur le seuil.
[...] Puis, avec une précaution extrême, il se mit à marcher vers moi à pas de loup. Puis, il fit un bond et se trouva à côté de mon lit. J'éprouvais d'inexprimables angoisses, mais une force invisible me retenait immobile. Le vieux se pencha sur moi et approcha sa figure livide si près de la mienne que je crus sentir son souffle cadavéreux. Alors, je fis un effort surnaturel et me réveillai, baigné de sueur.
Il n'y avait personne dans ma chambre, mais, jetant un regard vers la fenêtre, je vis distinctement le vieux Gorcha qui au-dehors avait collé son visage contre la vitre et qui fixait sur moi des yeux effrayants.