Ode pour hâter la venue du printemps
Une ode, un éloge, deux tombeaux – drôles de genres.
Les textes qui composent ce livre ne furent pourtant pas écrits en un siècle éloigné. Ils sont l’œuvre d’un auteur d’aujourd’hui, qui se réclame de Ponge et d’Aragon, de Roussel et de Mallarmé, des baroques et de Malherbe, de Góngora et de Whitman, de Saint Ignace et de Byron, de Boileau et de Jules Verne. Mais aussi de Steve Reich et du baron Scelsi, de la techno et de Monteverdi. D’André Masson et du Titien. »
(Début de la préface d’Omar Berrada)