Mon Kdi n'est pas un Kdo
Michel Besnier a porté son regard. sur les allées des grandes surfaces. Il évoque ce monde, à la fois artificiel et très réel. Il s’amuse, ce faisant, à expérimenter de nouvelles formes poétiques. Il explique joliment son choix : « C’est un univers que les enfants fréquentent. Ils se comportent en consommateurs, mais aussi en rêveurs. Le supermarché peut offrir des surprises, des enchantements qui rendent les courses moins pénibles. » Henri Galeron accompagne magnifiquement ses poèmes.