Le lendemain, Gabrielle
Je soupire. On est assis sur des coussins au sol, et tout pourrait dégénérer très vite. On y pense, sans aucun doute.
Je suis la seule qui puisse laisser dégénérer les choses. Eux ne se le permettront pas. Ça me plaît ce pouvoir supplémentaire, cette liberté de plus. Est-ce que c'est le moment ? Est-ce que j'en ai le désir ? Est-ce juste une pensée subversive pour jouer les crâneuses ? "
Gabrielle est en deuil de l'homme qu'elle aimait.
Anéantie. Mais libre aussi. Libre d'aimer, même si c'est de façon inattendue. Elle rencontre les Alban, une famille épargnée par la vie, joyeuse, bienveillante...