La mort n'a pas d'amis
Paris, décembre 1924. Un crime est commis rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie dont la mise en scène intrigue les enquêteurs. Il est suivi d'un autre puis d'un troisième, tout aussi étranges. Les victimes n'ont pas de rapport apparent entre elles et la police ne dispose d'aucun indice si ce n'est que le meurtrier s'inspire manifestement du tableau de Max Ernst, Au rendez-vous des amis. La toile est un portrait de groupe des principaux animateurs du courant surréaliste, lesquels sont évidemment les premiers suspectés, individuellement ou en association.
Tandis que la police piétine, Camille Baulay, dite Oxy, reporter au Petit Journal, mène ses investigations qui la conduisent à fréquenter de près Breton, Éluard, Aragon, Desnos, Prévert... et le très énigmatique Dédé Sunbeam. Difficile, parmi ceux qui assurent que " le véritable surréalisme consiste à descendre dans la rue armé d'un revolver pour tirer sur les passants ", de démêler le vrai du faux, la pose littéraire de la menace réelle. Et l'affaire se corse quand Blanche, épouse d'un député ambitieux et sensuelle amie de Camille, est elle-même assassinée selon le rituel " surréaliste " ; c'est alors au tour de Camille d'être désignée en suspect n° 1. Traquée par le Quai des Orfèvres, elle va pourtant devoir continuer son enquête et mettre la main sur le criminel. Sa vie en dépend.
Pourquoi je vais aimer ce livre ?
Cher futur lecteur,
Permettez-moi de vous transporter dans les méandres de mon œuvre littéraire, là où les ombres se faufilent et où la mort tisse son sinistre écheveau. Je vous invite à découvrir les pages tourmentées de mon dernier roman, "La mort n'a pas d'amis", où le mystère se dévoile tel un voile ensorcelant, prêt à emporter votre âme avide de frissons et d'énigmes.
Dans cet ouvrage, je m'efforce de bousculer vos certitudes, d'ébranler les fondations de votre réalité. Vous rencontrerez des personnages en proie à l'obscurité de leurs propres démons, des âmes errantes cherchant désespérément à échapper à leur destin funeste. Chacun d'eux, lié par le fil ténu de la vie, est confronté à la cruauté implacable de la faucheuse, cette insatiable compagne qui ne connaît ni répit ni indulgence.
Laissez-moi vous narrer l'histoire d'Anna, une jeune femme tourmentée, dont l'esprit est pris en otage par la quête éternelle de vérité. Vous serez happé par ses doutes, emporté par ses émotions à fleur de peau, et vous ne pourrez vous empêcher de vous interroger sur le fragile équilibre entre la vie et la mort. Vous croiserez également le chemin de Thomas, enquêteur aux yeux perçants, résolu à résoudre l'énigme qui se cache derrière chaque disparition. Son esprit sagace, avide de justice, se heurtera aux ténèbres qui hantent les recoins les plus sombres de notre existence.
Mon cher lecteur, vous serez plongé dans une atmosphère envoûtante, où le suspense se mêle à la poésie macabre de la vie. Vous ressentirez l'urgence palpable qui se dégage de chaque page, l'étau qui se resserre inexorablement autour de vos émotions, vous laissant à la fois assoiffé de vérité et terrorisé par ce qui pourrait se cacher dans l'ombre.
"La mort n'a pas d'amis" est un hymne à la condition humaine, une symphonie funèbre qui transcende les limites du genre. Laissez-vous happer par les arcanes de ce récit, par les éclats de lumière qui percent les ténèbres et par les rires étouffés qui s'échappent des tombeaux. Vous ne sortirez pas indemne de cette expérience littéraire, mais vous en émergerez enrichi, ébloui par la beauté terrible qui réside dans l'inconnu.
Dans l'attente de votre plongée dans l'obscurité enchanteresse de "La mort n'a pas d'amis", je vous prie d'agréer, cher futur lecteur, mes salutations les plus distinguées.
Un admirateur
Comment ce livre va me faire réfléchir ?
Cher lecteur avide de découvertes et d'explorations intellectuelles,
Plongez-vous dans les pages envoûtantes de "La mort n'a pas d'amis" de Gilles Schlesser, et laissez-vous emporter dans un tourbillon de réflexions profondes sur notre société, nos relations et la complexité de la nature humaine. En cinq points saisissants, je vous offre un aperçu de ce chef-d'œuvre littéraire qui résonne avec notre époque tumultueuse :
Quand la Mort devient familière : Comment notre société moderne, obsédée par le progrès, a-t-elle évolué pour traiter la mort comme une étrangère ? Plongeant dans les mystères de la vie éternelle, Schlesser tisse une trame où la Mort devient une amie intime, révélant ainsi nos craintes et nos désirs les plus profonds.
Liens en quête d'authenticité : À l'ère des relations numériques, comment la quête de liens authentiques façonne-t-elle notre identité ? À travers les personnages éclatants de vérité, l'auteur explore les dédales émotionnels de l'homme moderne, désireux de trouver des connexions significatives dans un monde de superficialité.
Secrets enfouis, révélations brûlantes : Quels sont les secrets qui sculptent nos vies, et que se passe-t-il lorsque ces vérités cachées éclatent au grand jour ? "La mort n'a pas d'amis" nous pousse à examiner nos propres cachotteries, tout en laissant émerger la vérité comme une force implacable.
L'humanité sous le microscope : Au cœur de l'obscurité, quelles émotions nous définissent en tant qu'êtres humains ? Dans une danse émouvante avec la psyché humaine, Schlesser déshabille nos émotions, de la peur à la joie, nous rappelant que c'est dans notre vulnérabilité que réside notre force.
Miroir déformant de notre réalité : Comment la fiction peut-elle éclairer nos vies et refléter notre monde d'une manière inattendue ? En exposant les aspects sombres et lumineux de notre existence, ce roman offre un prisme à travers lequel contempler notre propre existence avec une nouvelle acuité.
En somme, "La mort n'a pas d'amis" de Gilles Schlesser vous emmène dans un voyage captivant au cœur des profondeurs humaines et de notre société contemporaine. Chaque page est un miroir tendu vers notre propre compréhension du monde, nous poussant à remettre en question nos certitudes et à embrasser la beauté complexe de l'existence.
Bien à vous,
Un admirateur des mystères de la plume