La Lanterne sourde
En récits denses et brefs, en raccourcis de vingt lignes, Jules Renard fait tenir une anecdote, un paysage, des personnages... et les personnages vivent, comme sondés à l'âme, se révèlent d'un trait, où tant de romanciers useraient de pages et de chapitres. Cela va jusqu'au grossissement et demeure dans la vérité, et d'un français, d'un classique intense, du La Bruyère mêlé de Stern.»Jean Ajalbert.