L'obsolescence programmée de nos sentiments
Le corps se résigne plus vite que l'âme.
Le temps le ride, l'injurie, l'humilie...
Il fait avec, le corps, beau joueur.
L'esprit, lui, est mauvais perdant.
Il ne conçoit que par à-coup,
par révélations douloureuses,
par effrois successifs.