L'avenue
Le sculpteur Antoine Bourgoin, blessé au genou au cours de l’exode de juin 1940, se retrouve réfugié dans la petite ville de Gabarrus. Une fois rassuré sur le sort de sa femme dont un moment de panique collective lui avait fait perdre la trace, il s’installe dans une précarité d’existence qui le satisfait et lui fournit l’occasion d’une vita nuova.
Source : André Not.