Au silence du monde correspond sa beauté. A la beauté de l'être je souhaite répondre par l'émerveillement permanent."

Emporté par le sida en avril 1993, Pascal de Duve laissait derrière lui des carnets emplis de notes, poèmes, aphorismes, débuts de nouvelles, projets romanesques, etc., dont on sait qu'il les destinait à la publication.

Ces fragments parlent de tout : des rencontres, de l'amour, de la maladie, et surtout de l'écriture, authentique passion et bouée de sauvetage du romancier d 'ho, salué par la critique comme un nouveau Boris Vian.

Un bouleversant autoportrait.