Kill my mother
Le grand Jules Feiffer signe ici son premier roman graphique, et rend hommage aux privés du cinéma noir et aux bandes dessinées de son enfance. À travers le destin de trois femmes fatales aux rêves enchainés, Feiffer revisite la grande dépression, les figures de l’Amérique de l’entre deux guerres dans une mise en scène éblouissante.