Ce qu'on peut lire dans l'air
Au début des années 1980, Yosef et Mariam, que la révolution éthiopienne a séparés pendant trois ans, se rejoignent aux États-Unis. Pour célébrer leurs retrouvailles, ils s’offrent enfin un voyage de noces, à Nashville. Trente ans plus tard, Jonas Woldemariam, leur fils, en pleine crise existentielle, revient sur leurs pas. Entre de vagues souvenirs d’enfance et le silence de ses parents sur le drame qui les a menés aux Etats-Unis, il reconstitue à tâtons l’histoire de sa famille, sa propre histoire...
On retrouve dans ce nouveau roman la grâce poétique de l’écriture et du regard, ce souci de rendre compte de la réalité sans jamais négliger la fiction ni l’imaginaire appréciés dans Les Belles choses que porte le ciel. Ce qu’on peut lire dans l’air parle du couple, de la solitude, de la guerre et de l’exil, mais il évoque aussi la lumière et l’apaisement.La presse française« Sentiment d’être étranger, brutalité sourde de l’intégration au rêve américain, frontière poreuse entre mensonge et fiction, le deuxième roman de Dinaw Mengestu offre une nouvelle variation, à la fois plus ample et plus intime, autour des thème qui traversaient déjà Les belles choses que porte le ciel, son épatant premier roman… Le New Yorker l’a inclus l’année dernière dans sa liste des vingt écrivains américains de moins de 40 ans les plus prometteurs. »Livres Hebdo
« Subtil. Une image pertinente de la vie des immigrés en Amérique. »Jeune Afrique
« Mengestu renoue avec son lyrisme mélancolique dans un roman poignant, où le désamour et le déracinement se mêlent pour former une seule histoire, celle que partagent tous les exclus du rêve américain. »André Clavel, LireLa presse anglo-saxonne« Magnifiquement écrit. »The New York Times
« L’écriture précise et nuancée de Mengestu évoque des personnages, des scènes et des émotions, avec une clarté stimulante et sans égale. »Publishers Weekly
« Un livre parfois sombre, mais toujours pénétrant, sur l’amour, le sentiment de perte et l’expérience des migrants. »Kirkus Reviews
« La peinture finement mélancolique d’une généalogie qui se forme et se reforme à travers deux continents et deux générations. »The Times Literary Supplement
«Une grande partie de la littérature américaine a été façonnée par l’expérience de l’immigration et c’est ce qui rend encore plus remarquable le regard neuf de Dinaw Mengestu. Son écriture est parfaite, comme son souci du détail et sa capacité à faire surgir l’émotion là où on s’y attend le moins. »Bookpage
« Un roman virtuose qu’il faut lire et relire. Même dans sa mélancolie, il danse avec la vérité. »The Cleveland Plain Dealer
Livres de l'auteur : Dinaw Mengestu
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Mentir n'est pas trahir Romans et littérature (2015) 304 pages |
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Un été sans les hommes Romans et littérature (2011) 215 pages |
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Notre famille Littérature américaine (2015) 228 pages |
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Les Porteurs de glace Autres littératures étrangères (2006) 141 pages |
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Un mauvais garçon Autres littératures étrangères (2015) 204 pages |
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Daniel Avner a disparu Littérature francophone (2015) 144 pages |
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Je refuse Roman et Nouvelles (2014) 272 pages |
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Les inséparables Littérature française (2008) 272 pages |
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La grande bleue Littérature française (2012) 204 pages |
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Venus d'ailleurs Littérature française (2015) 208 pages |
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L'Intensité secrète de la vie quotidienne Romans et littérature (2014) 600 pages |
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Testament Littérature française (2012) 155 pages |
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Nous dînerons en français Littérature française (2015) 216 pages |
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La Fille de son père Poésie (2010) 168 pages |
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L'Enfant de l'étranger Romans et littérature (2015) 768 pages |
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À l'origine notre père obscur Romans et littérature (2014) 164 pages |
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Folles nuits Littérature américaine (2011) 238 pages |
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La grande nageuse Littérature française (2014) 160 pages |
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Un an après Littérature française (2015) 208 pages |
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La Femme d'En Haut Romans et littérature (2014) 384 pages |
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CENT PORTES BATTANT AUX QUATRE VENTS Autres littératures étrangères (2011) 123 pages |
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Corps désirable Littérature française (2015) 168 pages |
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Crépuscule irlandais Romans et littérature (2010) 445 pages |
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Les Après-midi d'un fonctionnaire très déjanté Romance et littérature sentimentale (2007) 546 pages |
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En cuisine Littérature anglaise (2010) 640 pages |
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Bain de lune - Prix Femina 2014 Littérature francophone (2014) 273 pages |
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Lame de fond Littérature française (2012) 276 pages |
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A défaut d'Amérique Littérature française (2012) 300 pages |
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La Peine du Menuisier Littérature française (2009) 284 pages |
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Le cas Annunziato (2016) 124 pages |
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La cache - Prix Femina 2015 Littérature française (2015) 344 pages |
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Juste avant l'Oubli Littérature francophone (2015) |
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Soyez imprudents les enfants Littérature française (2016) 400 pages |
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Le pays du lieutenant Schreiber Littérature française (2014) 224 pages |
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Un autre amour Romans et littérature (2010) 278 pages |
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La Fille du cannibale Littérature espagnole (2008) 448 pages |
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Ailleurs Romans et littérature (2009) 128 pages |
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Nina par hasard Littérature française (2010) 189 pages |
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Chercher Proust Littérature française (2014) 224 pages |
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Fleur et sang Littérature française (2014) 264 pages |
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Tout cela n'a rien à voir avec moi Littérature française (2013) 140 pages |
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Frank et Billy Romans et littérature (2003) 188 pages |
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Bella ciao Littérature belge francophone (2009) 156 pages |
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J'ai renvoyé Marta Littérature française (2007) 160 pages |
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La Liste de Freud Romans et littérature (2013) 290 pages |
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Mille excuses Littérature américaine (2014) 288 pages |
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Une sainte Littérature francophone (2013) 205 pages |
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Je ne retrouve personne Littérature française (2013) 240 pages |
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La Vie devant ses yeux Littérature américaine (2003) 352 pages |
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Fille noire, fille blanche Littérature américaine (2009) 382 pages |