Bob Morane, tome 164 bis : La dernière Rosace
En 1992, Lefrancq dans "Le cycle d'Ananké" regroupant tous les volumes a publié un épilogue inédit : ‘’La dernière rosace ‘’.
Une semaine plus tard, chez Bob les trois amis se refont une santé.
Une pub télévisée retient leur attention : un jeu électronique nommé Ananké, avec la rosace d'Ananké, ou l'on doit passer de muraille en muraille et affronter Le Cercle des Anges, Des Monstres de la Nuit, visiter le monde de Peste !...
L'éditeur de ce jeu est un certain Essul, soit Lusse à l'envers.
La régie publicitaire de la chaîne TV ne connaît pas cette publicité, l'adresse des éditions Essul n'apparaît que dans le Bottin de Bob, et de lui seul, la rue des 13 Roses n'apparaît que dans le plan de Paris de Bob et de lui seul.
Ils se rendent dans la Marais à la maison de Lusse; la maison vient de brûler.
Ils vont rue des 13 Roses.
La ruelle n'a l'air d'exister que pour eux. Bob et Bill vont au 13 et entrent dans un hangar poussiéreux.
Au premier étage, une grande rosace de lumière leur bloque le passage.
Bob profite que la rosace soit posée sur une grande verrière pour briser la verrière, détruisant la rosace en même temps.
Ils s'enfuient du hangar et courent dans la rue, dont les maisons commencent à se rapprocher.
Lorsqu'ils rejoignent Flo et la voiture, la rue des 13 Roses, derrière eux à disparu. " A partir de ce moment, plus personne ne parla d'Ananké. JAMAIS. ".