Rêveurs, entrez... c'est l'invite de Shel Silverstein depuis les années 1950 à ses admirateurs. Enfin traduit en français, plusieurs millions de lecteurs l'apprécient déjà en trente langues. L'humour inspiré de cet Américain à la popularité immense ne l'a jamais empêché d'être peu prolixe sur lui-même.

" Lorsque j'étais enfant, j'aurais de loin préféré savoir jouer au baseball ou plaire aux filles. Mais je n'étais pas doué pour le baseball et je ne savais pas danser. Alors je me suis mis à dessiner et à écrire. "... voilà toutes les confidences que fit ce maniaco-optimiste à propos de ses dessins, textes, poèmes, chansons, pièces de théâtre... univers de fantaisie, de sagesse irrévérencieuse et de tendresse. Une œuvre universelle fertile dont il pensait qu'elle parlait pour lui. Rêveurs, entrez...