Suite et fin de de l'exécution en cours pour Hiroshi et ses deux jeunes collègues. Iijima a mis la main sur leur cible mais Ide ne compte pas laisser son ami mourir sans rien faire. De même, Hisae n'est pas décidée non plus à se laisser faire, d'autant plus que son précédent opposant n'est pas encore hors course. Pendant ce temps, Hiroshi se met lui aussi en chasse.

Si le destin qui attend le duo Terajima-Ide ne s'avère finalement pas des plus surprenants, la deuxième moitié de l’exécution les mettant en scène aura comme premier mérite de s'avérer intense et haletante. C'est violent, rythmé, bien dessiné et les personnages mis en scène possèdent pour la plupart un charisme suffisant pour en imposer aussi bien dans les paroles que dans les gestes. Qui plus est, Jiro Matsumoto jongle de manière fort habile avec les émotions de ses protagonistes et vient nous happer petit à petit dans la folie ambiante. A ce niveau là, la scène où l'on retrouve un Terajima en fuite perdant peu à peu ses repères dans une réalité qui se liquéfie autour de lui se veut particulièrement réussie sur le plan graphique. Tout comme les apparitions du tueur de fantôme qui, tout en restant fort en retrait, en impose toujours autant à chacune de ses impressions et, ce, malgré une impression de déjà-vu qui tend à s'installer.

Mais si Hiroshi est souvent passif c'est aussi et surtout parce qu'il est continuellement plongé en pleine réflexion et qu'il avoue lui-même être proche d'atteindre la sérénité... A moins que l'un ou l'autre élément extérieur ne vienne le perturber si près du but... Toujours est-il que notre héros, moins mis en avant depuis quelques temSuite et fin de de l'exécution en cours pour Hiroshi et ses deux jeunes collègues. Iijima a mis la main sur leur cible mais Ide ne compte pas laisser son ami mourir sans rien faire. De même, Hisae n'est pas décidée non plus à se laisser faire, d'autant plus que son précédent opposant n'est pas encore hors course. Pendant ce temps, Hiroshi se met lui aussi en chasse.

Si le destin qui attend le duo Terajima-Ide ne s'avère finalement pas des plus surprenants, la deuxième moitié de l’exécution les mettant en scène aura comme premier mérite de s'avérer intense et haletante. C'est violent, rythmé, bien dessiné et les personnages mis en scène possèdent pour la plupart un charisme suffisant pour en imposer aussi bien dans les paroles que dans les gestes. Qui plus est, Jiro Matsumoto jongle de manière fort habile avec les émotions de ses protagonistes et vient nous happer petit à petit dans la folie ambiante. A ce niveau là, la scène où l'on retrouve un Terajima en fuite perdant peu à peu ses repères dans une réalité qui se liquéfie autour de lui se veut particulièrement réussie sur le plan graphique. Tout comme les apparitions du tueur de fantôme qui, tout en restant fort en retrait, en impose toujours autant à chacune de ses impressions et, ce, malgré une impression de déjà-vu qui tend à s'installer.

Mais si Hiroshi est souvent passif c'est aussi et surtout parce qu'il est continuellement plongé en pleine réflexion et qu'il avoue lui-même être proche d'atteindre la sérénité... A moins que l'un ou l'autre élément extérieur ne vienne le perturber si près du but... Toujours est-il que notre héros, moins mis en avant depuis quelques temps, pourrait bien revenir sur le devant de la scène dans un avenir proche et il faut bien avouer que cette perspective suscite pas mal d'attente.

On se retrouve, une fois encore, face à un bon petit tome de Freesia. Ceci dit, après huit volumes, la série tend quelque peu à s'essouffler et à opter pour un rythme plus lent qu'il n'y parait, en tout cas en ce qui concerne la trame principale. Car de l'action, il y en a à foison, c'est indéniable. Pareil pour les développements efficaces de personnages secondaires arrivant et repartant rapidement. Cependant, il serait de bon ton de se recentrer un peu plus sur Hiroshi sous peu, sous peine de s'embourber un peu trop.ps, pourrait bien revenir sur le devant de la scène dans un avenir proche et il faut bien avouer que cette perspective suscite pas mal d'attente.

On se retrouve, une fois encore, face à un bon petit tome de Freesia. Ceci dit, après huit volumes, la série tend quelque peu à s'essouffler et à opter pour un rythme plus lent qu'il n'y parait, en tout cas en ce qui concerne la trame principale. Car de l'action, il y en a à foison, c'est indéniable. Pareil pour les développements efficaces de personnages secondaires arrivant et repartant rapidement. Cependant, il serait de bon ton de se recentrer un peu plus sur Hiroshi sous peu, sous peine de s'embourber un peu trop.