Je n'ai pas une minute à perdre, je vis
Bernard Lavilliers, comme jamais.
Sous les mots lisibles et les notes invisibles, la vie.
La rage de vivre : "Je n'ai pas une minute à perdre je vis."
L'urgence de vivre : "Vivre encore / Vivre comme un cri."
C'est toute l'oeuvre de Lavilliers, c'est tout le chant de Bernard.
C'est un manuel des émotions.
C'est un débordement de larmes et de rires, de chagrins et de joies, d'ironie glacée et de pirouettes enjouées. La vie comme un pied-de-nez !
C'est un tumulte solitaire et solaire, parfois mouillé de pluie.